Rousseau (by Soulez)

Matière

Chez At matière est appelé hyle (v. après holimorphique), les éléments premiers sont la matière, éléments analysables.  Mais la matière peut être analysé divisé en éléments.  (Sujet = sub + jacto = physis hypocaimine = nature sous-jacente)

La matière est donc cela par qui l’on passe d’une attribue a une autre, et cela est possible uniquement dans le mouvement, dans le tmp, il y a de contraires mais pas de contradictions = devenir. 

Et donc du ti katatinos (dire qch. à propos de qch.) on vient à une catégorie, donc le sujet se dit selon les catégories.  Les catégories sont immanentes et accidentes.  Quand on articule le sujet via des attributs = discours. 

At donc est contre la logique necessatariste qui traite les catégories nécessaires, inaffectable (At, De Interprétation, ch.9, « de futures contingences »).  Contingo est ce qui arrive, pas seulement vrai ou faux mais aussi possible laissant ainsi un champs d’action pour homme. 

Rousseau

Son Pygmalion traite des rapports entre artiste et son œuvre. Et cela se passe dans l’univers interne de Pygmalion, dans la tête, on n’a pas de preuve du réel public, c ;est une conscience réflexive, tout le monde est construit par réflexion à moi. 

Déception du Pygmalion pas par l’œuvre mais par le fait qu’il ne peut pas s'en détacher. Doublement de soi, desublimisation de soi car le moment sublime est passe.  La question de la possibilité de la matière se pose donc, indépendance de la matière. Il arrive un moment narcissique quand il se reconnaît dans l’œuvre mais ne peut pas s’aimer, il est moins bon que l’œuvre.  On a donc un sujet instable, manque de maîtrise de soi (sujet deDescartes dans les Méditations 1 et pas des Méditations 2 ou vient cogito).  Sensualité pour Rousseau est donc nécessaire a la raison, mais confère en même temps une instabilité flottante. 

Il cherche à lui donner l’âme. Et à la fin, la sculpture vivante s’éprouve de l’autonomie.  L’œuvre et l’auteur partagent la vie, la sculpture n’est pas un autrui, elle est l’autre de l’auteur, pas d’altérée par excellence.  Et donc il ne peut y avoir de relation – le moment négatif qui n’est pas dépassé.  Statue est l’image de ce que l’auteur n’est pas et l’auteur en est conscient.  Il apparaît une discontinuité entre matière et conscience (contrairement aGoethe pour qui il s’agissait de rapport l’art – la nature). 

Il y a donc 2 problèmes :

• l’autonomie de l’art donc Rousseau est considéré l’auteur, autonomie dans l’esthétique ; et
• altérée fausse et sujet (l’artiste) inachevé.