Sa démarche consiste à observer le phénomène pour en trouver les causes motifs. L’analyse arrive donc plus tard après la description du phénomène. + Il étudie l’importance de l’environnement culturelle (importance de 20%). Le problème pour lui est d’unifier les raisons d’un phénomène extérieures et intérieures.
Il étudie le monopole industriel dans un atelier et dans une direction. Dans l’atelier contrairement à l’organigramme, les ouvriers d’entretien détiennent le pouvoir (le chef est absent au quotidien), ils ont conflit avec les ouvriers de production sans des moyens de régler.
Au sein de la direction le sociogramme ne correspond pas à l’organigramme non plus : le chef est en complicité avec les jeunes ingénieurs contre les adjoins techniques.
La conclusion de Crozier est que celui qui détient la zone de l’incertitude (l’information que les autres n’ont pas) détient le pouvoir. Lui est encore important le jeu (ce que je fais) et l’enjeu (au nom de quoi je le fais). Il analyse donc le phénomène comme un système desstratégies particulières des participants, chaque participant a sa stratégie (approche repris dans le swot-analyse). Cette approche est critique par l’école d’Harvard (Graham Allison) qui distinguait differents niveaux : stratégie, organisation, opération.
Selon Crozier, on est tous les stratèges. Après avoir expose les stratégies de differents niveaux, il propose une théorie de l’acteur à rationalité limitée (Herbert A. Simon).
Son analyse est développée par Boudon qui a pris le système dans lequel les stratégies se développent comme le contexte pour des individus.
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